10 février 2010, 10:52, par Aide creation entreprise
Outre l’interdiction que vous soulevez (source svp ?), l’auto-entrepreneur ne peut ni tenir compte de ses charges réelles ni amortir ses immobilisations. Or dans la location de matériel, la marge étant faible, choisir une imposition sur la base du chiffre d’affaires (comme pour les auto-entrepreneurs et micro-entreprises) plutôt que sur le bénéfice (comme dans le cas du régime du réel d’une entreprise individuelle, EURL, SARL...) ne semble pas avantageux, bien au contraire. Enfin, si vous devez acheter ce matériel à crédit, une société bien capitalisée présentera bien plus de garanties que le statut d’auto-entrepreneur.
Outre l’interdiction que vous soulevez (source svp ?), l’auto-entrepreneur ne peut ni tenir compte de ses charges réelles ni amortir ses immobilisations. Or dans la location de matériel, la marge étant faible, choisir une imposition sur la base du chiffre d’affaires (comme pour les auto-entrepreneurs et micro-entreprises) plutôt que sur le bénéfice (comme dans le cas du régime du réel d’une entreprise individuelle, EURL, SARL...) ne semble pas avantageux, bien au contraire. Enfin, si vous devez acheter ce matériel à crédit, une société bien capitalisée présentera bien plus de garanties que le statut d’auto-entrepreneur.