3 décembre 2010, 08:52, par Aide creation entreprise
Merci beaucoup pour ce retour.
La seconde réponse prouve que les conseillers du Pôle Emploi tentent réellement d’aider à la création d’entreprise mais ne nous apprend pas grand chose. La première réponse précise que l’ARCE est subordonnée à votre inscription en tant que demandeur d’emploi. Dans votre cas, il n’y aura pas de problème car vus pouvez parfaitement rester inscrite au Pôle Emploi tout en ayant par ailleurs un travail à temps partiel (1 semaine par mois). Mais pour ceux qui acceptent un plein temps, à quelle date doivent-ils toujours être inscrits au Pôle Emploi pour bénéficier de l’ARCE ? Au jour de la demande d’ARCE logiquement. C’est ce que le Pôle Emploi m’a indiqué de mon côté, malgré les abus imaginables : plutôt que d’accepter un emploi, se déclarer auto-entrepreneur, demander l’ARCE puis accepter cet emploi. Seules limites :
– on ne pourra alors plus demander l’ARCE durant 3 ans d’une part,
– on ne pourra plus percevoir d’ARE au titre de ce nouvel emploi exercé alors qu’on était bénéficiaire de l’ARCE.
Merci beaucoup pour ce retour.
La seconde réponse prouve que les conseillers du Pôle Emploi tentent réellement d’aider à la création d’entreprise mais ne nous apprend pas grand chose. La première réponse précise que l’ARCE est subordonnée à votre inscription en tant que demandeur d’emploi. Dans votre cas, il n’y aura pas de problème car vus pouvez parfaitement rester inscrite au Pôle Emploi tout en ayant par ailleurs un travail à temps partiel (1 semaine par mois). Mais pour ceux qui acceptent un plein temps, à quelle date doivent-ils toujours être inscrits au Pôle Emploi pour bénéficier de l’ARCE ? Au jour de la demande d’ARCE logiquement. C’est ce que le Pôle Emploi m’a indiqué de mon côté, malgré les abus imaginables : plutôt que d’accepter un emploi, se déclarer auto-entrepreneur, demander l’ARCE puis accepter cet emploi. Seules limites :
– on ne pourra alors plus demander l’ARCE durant 3 ans d’une part,
– on ne pourra plus percevoir d’ARE au titre de ce nouvel emploi exercé alors qu’on était bénéficiaire de l’ARCE.