Dans le cas d’une EURL soumise à l’IR, la rémunération de l’associé unique est le résultat fiscal de l’entreprise (qu’il se verse ou non une rémunération).
En revanche, dans le cas d’une EURL soumise à l’IS, le créateur d’entreprise a la possibilité de ne se verser aucune rémunération, si ce n’est des dividendes, et percevoir ainsi l’intégralité de ses ARE. Mais attention, ses cotisations minimum seront alors limitées (voir régime des TNS), et c’est l’URSSAF qui pourrait s’en inquiéter.
Dans le cas d’une EURL soumise à l’IR, la rémunération de l’associé unique est le résultat fiscal de l’entreprise (qu’il se verse ou non une rémunération).
En revanche, dans le cas d’une EURL soumise à l’IS, le créateur d’entreprise a la possibilité de ne se verser aucune rémunération, si ce n’est des dividendes, et percevoir ainsi l’intégralité de ses ARE. Mais attention, ses cotisations minimum seront alors limitées (voir régime des TNS), et c’est l’URSSAF qui pourrait s’en inquiéter.